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CharlElie Couture signe son grand retour à la chanson avec cet album qu'il a entièrement écrit et composé et réalisé par Benjamin Biolay. 1er artiste français à avoir eu l'honneur d'être signé sur le label Island en 1981 par Chris Blackwell, CharlElie est depuis devenu mythique de par sa prolifique carrière. Avec ce nouvel album, CharlElie revient à ses premières amours. "L'amour au fond", le 1er extrait, catchy, tendre et poétique à la fois, ne laissera personne de glace... On y ressent toute la tendresse des textes de CharlElie, le tout finement et poétiquement orchestré par Benjamin Biolay.

Originaire d'Angers, Daria trace son chemin au-delà des Thugs et de ses influences outre-Atlantique (Jawbox, Fugazi ou Foo Fighters). Avec le succès de son troisième album (Red red sorti en avril 2012), le groupe s'embarque sur plusieurs tournées dans une dizaine de pays. En l'espace de six mois, Daria compose son quatrième album avec MatGaz (MarsRedSky, Headcases), nouveau batteur du groupe, et s'envole pour les USA pour enregistrer ce qui deviendra Impossible colours. Ce disque entièrement réalisé live sur un magnéto 16 pistes à bandes voit le groupe vibrer dans la spontanéité, assumer ses élans musicaux comme la maturité de ses textes, puis oser l'inconnu et la nouveauté.

Le jeune violoncelliste s'entoure du City of Birmingham Symphony Orchestra (CBSO) et de la chef d'orchestre Mirga Grazinyte-Tyla pour son premier album studio. Enregistré à Birmingham et à Nottingham, cet opus dévoile son interprétation du Concerto pour violoncelle n°1 de Chostakovitch, la pièce avec laquelle il a remporté le concours BBC Young Musician. Sheku a également voulu jouer des oeuvres qui ont compté pour lui dans sa formation et sa carrière : Evening of roses que son enseignant lui avait appris au lycée, Tears for Jacqueline et Song of the Birds en hommage à Mstislav Rostropovich, Pablo Casals et Jacqueline du Pré, No woman, no cry pour son idole Bob Marley.

Fidèles à la formule qui a fait d'eux un des groupes de référence du punk rock actuel, Matt Caughthran et ses compères lancent ces douze nouveaux brûlots comme on lance une grenade. Un album qui représente la version la plus évoluée du groupe, plus mature sans être pour autant plus tendre. Tout le superflu s'est envolé pour se reconcentrer sur l'essence de leur musique. L'épisode ''Mariachi El Bronx'' n'y est pas pour rien, et a permis au groupe de développer de nouvelles qualités de songwritting et de chant.

"On s'attend à ce que j'explique ce titre mais cet album aurait tout aussi bien pu s'appeler J'aime pas le piano. Il s'appelle "J'aime pas la chanson" parce que j'aime pas non plus la chanson. Ce qui est rigoureusement vrai, mais ne m'empêche pas d'en faire. Même si je n'aime pas écrire, chercher le mot juste au sens exact, la forme, le fond, patin-couffin, gratter pendant des heures du papier à carreaux ou à musique, tâtonner le piano, et chantonner des lalala pas seulement sous la douche. J'ai bien connu une crèmerie qui proposait des produits sublimes dans un coin de Paris et dont la patronne ne mangeait jamais de fromage parce que, disait-elle, elle n'aimait pas ça. Voilà ! Je suis la crémière de la chanson."

Adapté du best-seller de Mathias Malzieu (Dionysos), le long-métrage "Jack et la mécanique du coeur" sort le 5 février 2014. La musique du film est écrite par Dionysos, on y retrouve de larges extraits de l'album "La mécanique du coeur" parue chez Barclay en 2007, deux titres d'Olivia Ruiz où elle chante en espagnol, des instrumentaux et des inédits, dont "Jack et la mécanique du coeur", qui figure au générique du film et dans sa bande-annonce.

En se limitant en grande partie aux chanteuses, les historiens du jazz ont trop souvent négligé d'évaluer l'importance de la place des femmes instrumentistes. Il était nécessaire de réévaluer le travail des pionnières qui ont ouvert la voie aux formidables musiciennes que l'on compte parmi nous aujourd'hui. Dans la lignée du coffret dédié à Mary Lou Williams, Jean-Paul Ricard et Jean Buzelin mettent en lumière de formidables musiciennes, dans une anthologie complète et pleine de trésors rares.

De grands artistes et musiciens reprennent ici des classiques Disney en mode jazz.

Le "petit orchestre" de Portland, Oregon, fondé par Thomas M. Lauderdale en 1994 qui réunit douze musiciens d'horizons bigarrés et dont le single 'Je ne veux pas travailler' a fait le tour du monde sort, après quelques rétrospectives, un album aux mêmes accents internationaux, marque de fabrique du groupe depuis ses débuts. Le plus français des groupes américains célèbre à nouveau et avec amusement le flegme et l'espièglerie de notre très cher pays et on dit oui à ce joli garçon aux accents de rumba.

Si le décès d'Abercrombie a privé le jazz de l'un de ses plus grands guitaristes, il a également laissé Marc Copland sans son ami proche, collaborateur de près d'un demi-siècle. Le respect mutuel et l'influence entre les deux ne concernaient pas que les notes et les concerts, les deux étaient des amis proches. Cette relation longue et étroite entre les deux joueurs donne à Copland un aperçu unique de l'ensemble du travail de John au cours de sa longue carrière. En collaboration avec le producteur Philippe Ghielmetti et le producteur associé Stéphane Oskeritzian, des sélections pour cet enregistrement ont été faites qui couvrent toute la gamme - de Timeless, la chanson titre du premier album ECM d'Abercrombie, à Sunday School et Flip Side - de son dernier album ECM.